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Sabaku no Kankuro
Invité
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Présentation
Sabaku no Kankuro


Nom : Sabaku no
Prénom : Kankurō
Age: 18 ans
Sexe: (H)
Groupe/Village: Suna
Rang souhaité : B
Grade souhaité: Jōnin
Signes distinctifs:
Tête de la Division de Contre-Terrorisme, second des Trois Enfants du Sable, membre de l'élite shinobi de Suna et descendant direct de la lignée de l'actuel Kazekage (le Quatrième du nom).
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Sabaku no Kankurō
Naruto

Caractère & Physique

À l’image des pantins de bois qu’il côtoie plus en fait que ses pairs de chair et d’os, Kankurō est un personnage complexe et truffé non seulement de ressources et de secrets, mais aussi de sens, tous dissimulés sous la cape noire d'un homme de l’ombre à qui le rôle semble avoir été imposé.  


C’est accoutré d’un costume lugubre et modeste d’apparence, les mains gantées jusqu’aux premières phalanges et la tête elle-même recouverte d’une capuche singulière et d’ailleurs cornue que Kankurō fait l’ensemble de ses apparitions. Dérobé à lui-même jusque dans les moindres détails de sa personne – exception faite de son portrait grimé, peint, maquillé certes mais de nuances princières, empruntes de pourpre et de violet comme un unique rappel de cette lignée qui lui fait fierté – il arbore en public le masque de l’arrogant, du provocateur et du teigneux, parfois même teinté/tenté de cruauté en dépit d’une réalité bien plus mesurée, ce-dernier se révélant loin de toute scène comme un être non seulement rusé mais surtout capable d’un haut niveau de raisonnement manifeste, d'une tolérance étonnante et d’une assurance sans cesse remise en doute par ses propres incertitudes.


Or il ne pouvait que difficilement en être autrement pour le premier fils et néanmoins second rejeton du Quatrième Kazekage, à qui ressemble-t-il tant sans cet affublement ; cette position hasardeuse suffisant, seule, à justifier in extenso l’ensemble de la problématique à laquelle Kankurō fait face.

D’abord manque-t-il de cette autorité naturelle héritée par son ainée, Temari, qu’il envie certes mais dont la patience et le calme sont parfois mis à rude épreuve. Malgré de récurrentes quoique brèves oppositions publiques, Kankurō ne remet que rarement en question les choix de sa sœur dont il respecte la parole et craint les colères. Au fond lui ressemble-t-il d’ailleurs quelque peu, partageant avec cette dernière un tempérament foncièrement tendre et protecteur, Kankurō ne supportant en outre pas le moindre irrespect à l’encontre de l’un des membres de cette famille qu’il aime et considère en haute estime. Soucieux d’apporter à sa sœur un soutien et une affection n’ayant d’égal que leur réciprocité, forts d’une intime et longue relation fraternelle, Temari se trouve en fait l’unique personne à qui Kankurō confie songes et états-d’âmes ainsi que celle en compagnie de laquelle est-il le plus à l’aise : ces deux-là figurent aisément parmi les plus complices des êtres, leurs liens se révélant parfaitement inébranlables même aux yeux de l’observateur novice.

Ensuite souffre-t-il du statut tout particulier que porte leur jeune frère, malgré-lui source ou écho de bien des maux frappant Kankurō. Bien qu’il fût le dernier né, Gaara fût aussi le seul en qualité d’offrir la compatibilité nécessaire au rôle de réceptacle, ce qui poussa d’abord Kankurō vers un sentiment d’échec personnel conséquent avant d’amener celui-ci au-devant d’une injustice plus douloureuse encore. Délaissé, oublié, relégué en seconde zone, tout juste assez bon pour se charger de le surveiller, ce-dernier ressent lourdement peser sur lui l’ombre de Gaara, ou plutôt celle de son utilité, d’une arme rare et précieuse ; l’ombre de Shukaku, celle du démon à une queue.
Malgré tout enclin à en reconnaître le sens politique et l’importance militaire, Kankurō fait toutefois montre d’une compassion sincère au regard de l’accablante situation infligée à son frère, observant son fardeau avec impuissance et amertume. Or, tendre la main à Gaara comme Temari l’a fait avec lui-même semble peine perdue pour Kankurō car celui-ci se heurte quotidiennement à l’indifférence d’un frère qu’il subit plus qu’autre chose. D'abord élevé séparément puis rongé par le mal, Gaara est mu d’un manque de considération et d’un irrespect effrayant, effarant, qui plus est animé de colères imprévisibles et capable de violences soudaines qui ne le rendent pas seulement insupportable mais plus encore : injuste, et à l'origine de traumatismes persistant comme en atteste l’aversion de Kankurō pour les enfants, ingrats, instables, de qui doit-on faire attention en permanence et ce en dépit de nos propres besoins, pense-t-il. Outre la peur que suscite Gaara chez lui, Kankurō se révèle pourtant un frère dévoué, prêt à l’écoute et doué d'une certaine indulgence, secondé d’un digne et fidèle shinobi du village de Suna en la qualité desquels tâche-t-il de faire tout son possible non seulement pour protéger le précieux réceptacle des griffes des ennemis du sable, mais aussi, et surtout, pour garder son petit frère de chacun des dangers qui le guettent puisque de ce-dernier ne saurait-t-il reconnaître aucune véritable culpabilité, jamais.

Ne subsiste pour Kankurō que les restes qu’on aura daigné lui laisser, car pour finir est-il des trois fils du désert celui qui partage le plus de traits physiques avec Rasa, leur père, au dépend d’une relation pour le moins élusive, sous quelques angles ambiguë, voire conflictuelle. S'il éprouve un vaste sentiment d’honneur quant à son héritage familial, celui-ci nourrit néanmoins une critique assez sévère à l’endroit d’un géniteur trop sec et trop distant – fusse-t-il discret sur le sujet – duquel souligne-t-il la particulière imperfection, remettant nombre de ses choix en question, assez d’ailleurs pour tâcher coûte que coûte de s’en dissocier et d’éviter ainsi toute comparaison, qu’elle puisse être physique ou bien morale.
Bien qu'il peine à lui concéder publiquement le moindre compliment et s'applique par ailleurs à taire chacun de ses commentaires sur ce domaine, Kankurō n’est pas acquis à l’idée selon laquelle Rasa fasse un si mauvais Kage : s’il est d’un avis tranché quant aux méthodes employée par ce-dernier, jugées tantôt maladroites, tantôt insuffisantes, erronées voire inadaptées, son fils sait cependant toutes les difficultés qu’il peut traverser de par le poste qui lui est sien, car il n’est pas autrement qu'en pleine conscience des dilemmes moraux impliqués par une telle position, c’est pourquoi s’emploie-t-il le plus clair de son temps à trouver matière afin de tirer, lui-même, le meilleur de chacune des décisions qui lui sont imposées. Ses songes sont en fait clairs et Kankurō entend in fine démontrer l’étendue de ses capacités à commander, convaincu d’être à la fois plus juste et moins faillible que l’actuel Kazekage. Or n'attend-t-il pour cela que d'en acquérir la légitimité nécessaire, puisqu’il a tout à prouver, à tous et à lui-même le premier, si possible sans aide ni passe-droit mais appuyé toutefois d’une opiniâtre volonté et n’ayant pour cela de cesse que de chercher à outrepasser les contraintes sans jamais en dépasser les limites, ne serait-ce qu’afin de se démarquer de semblables qui n’en sont pas tant et, surtout, dans le but de trouver enfin une place moins ingrate entre l’amour des siens et l’ordre des choses, entre la lumière de la scène et l’ombre de ses coulisses.


Qu’il s’agisse ou non d’un choix délibéré, Kankurō s’est donc entièrement fondu avec l'office qui est le sien, instaurant de fait une mascarade de laquelle a-t-il choisi de faire une force aux multiples usages. Son attrait pour les marionnettes ne saurait trouver d’autre sens que celui d’une volonté de dominance et de contrôle inavouable, tout autant – faut-il le dire – que d’une quête de perfection aux différents niveaux de lecture, marqué, influencé, dirigé par une succession de fractures affectives et sentimentales. De manière intéressante a-t-il en outre su se tourner vers une discipline à l’opposé des valeurs de Rasa et de la fâcheuse habitude de ce même homme à attribuer une valeur à chaque chose, s’appliquant quant à lui au travail du bois et des petits mécanismes sans étoffe tout comme il s’applique à la recherche d’un contre-poids à la doctrine résolument utilitariste prônée par son père...

Quoiqu’il en soit, au théâtre, c’est sur ses silences qu’on juge un acteur.


Histoire

1 - Kankurō nait au sein du clan du Kazekage, il est alors un garçon des plus agréables et ressemble déjà à son père. Fils du quatrième et de la femme de ce dernier, Karura, il est le second des trois enfants qu’ils auront et n’a qu’un an de moins que Temari, leur aînée. En dépit de la tradition qui pousse le village à sceller Ichibi dans un jinchūriki de la famille du Kazekage, ni sa sœur ni lui ne sont compatibles avec le démon.

2 - Deux toutes petites années plus tard, Gaara vient au monde de manière prématurée, emportant malgré-lui la vie de leur maman. La particularité de cet enfant réside à l’intérieur de celui-ci : Ichibi a trouvé un hôte, il y fût d’ailleurs lié avant même sa naissance... Si les souvenirs sont absents de l’esprit de Kankurō, celui-ci accuse le coup de la disparition de sa mère durant des années, attribuant la faute tour à tour au démon, à Gaara, puis leur père, voire à chacun tout à la fois.
Temari devient dès lors un point de repère affectif fort.

3 - Elevé, éduqué et entraîné séparément de son petit frère, Kankurō ne quitte plus Temari. Tous deux sont initiés aux arts ninja en dehors de l’académie, par Rasa, bien que celui-ci ne se révèle être un père au comportement changeant, de nature plutôt stricte, parfois distant et bien trop souvent occupé. La vision de Kankurō à l’égard de ce-dernier n’est pas claire, celui-ci restant profondément perturbé par un ordre familial pour le moins incomplet et par des questions imprononçables.
Ses premiers jouets sont des pantins de bois désarticulés.

4 - Fort de quelques années supplémentaires et d’une détermination grandissante, alimentée par une position sociale privilégiée et un esprit de plus en plus affûté, Kankurō acquiert en maturité et prend rapidement conscience du monde dans lequel il évolue, ainsi que de ses différences. Il tient à cette époque beaucoup de Rasa, qui est alors un modèle et le restera même inconsciemment tout au long de sa vie en dépit d'un fort besoin d'émancipation.
Lorsque Gaara, possédé par Shukaku, déchaîne sa colère en plein village et bien qu’il ne soit encore qu’un enfant, Kankurō fait montre d’un sens du courage et des priorités remarquable, ordonnant aux habitants de fuir les lieux. Celui-ci qualifiera son frère de monstre auprès de son père dès lors de l'arrivée de ce-dernier, éprouvant pour la première fois un vif sentiment de rejet vis-à-vis de Gaara, cet épisode faisant particulièrement écho au décès de leur mère en raison des nombreuses victimes parmi lesquelles Yashamaru, le frère du Kazekage et l’oncle des trois enfants du sable.
Quand plus tard Kankurō confrontera son frère et questionnera celui-ci à propos du sentiment de remords qu’il devrait être en mesure de ressentir face à ses actes, Gaara se contentera de répondre par une menace de mort et sans une once de culpabilité, marquant dès lors Kankurō d’un sentiment d'appréhension et d’impuissance mêlé de mépris duquel découlera plus tard une véritable aversion à l’encontre des enfants.

5 - Alors qu’il prend conscience de l’épineuse situation qui est la sienne, que fleurit en lui l'expression du doute ainsi que le rejet d'une figure paternelle – de qui commence-t-il d’ailleurs à entrevoir les travers et notamment la responsabilité dans les événements précédents – Kankurō se tourne auprès de Chiyo, une légende qu’il admire tout particulièrement. Auprès d'elle espère-t-il apprendre les secrets du Kugutsu, une discipline dont il étudie d'ores et déjà l'histoire avec grand intérêt. Il essuie néanmoins son refus au prétexte que la Vieille ne souhaite plus enseigner aux nouvelles générations, Kankurō étant alors contraint d'apprendre seul à manipuler et comprendre l’essentiel des mécanismes de ses pantins, un trio d’excellente facture et issu d’une collection abandonnée qu’il s’emploie à démonter et à remonter, analysant et s’appropriant chacune de leurs fonctions.

6 - Dans le même temps, Rasa multiplie les tentatives d’assassinat sur Gaara, conscient de ses ratés et des difficultés à le contrôler. Chacune de ces sordides missions s’avère cependant être un échec, contribuant peu à peu à pousser Gaara dans ses plus sombres retranchements au mépris de ce-dernier tout autant que de la perte de plusieurs shinobi d’élite de Sunagakure.
Désintéressé par les gens desquels se sent-il si différent et à la fois si proche, Kankurō est quant à lui particulièrement ébranlé par l’existence et le sort de son petit frère ainsi que par le comportement de leur père à tous les deux. Il connaît alors une certaine idée de l’isolement et passe le plus clair de son temps enfermé, travaillant ses marionnettes de longues heures durant. Bien que réservé quant aux songes qui le bousculent en parallèle à tout cela, celui-ci se confie toutefois auprès de Temari, en qui a-t-il entière confiance pour ne pas partager le fruit des réflexions dont il lui fait part, bien que celles-ci soient encore en pleine ébullition.

7 - Plusieurs années sont passées et la situation globale s’est vraisemblablement stabilisée. Le Kazekage a fini par abandonner l’idée d’abattre Gaara, qu’il pense être parvenu à contenir, et celui-ci s’est de toute évidence figé dans une posture d’auto-défense agressive, à la fois égoïste et sans attache. S’il est officiellement devenu la chose que Kankurō redoute le plus, ces deux-là se retrouvent néanmoins en compagnie de leur sœur et sous l’égide de Baki, une figure connue et reconnue désormais en charge de l’apprentissage étendu des trois rejetons du Kage, admis au rang de Gennin après avoir passé les examens comme candidats extérieurs.
Bien que rude, Baki est un pilier important pour chacun de ces enfants, qui apprendront ainsi non seulement à développer leurs talents, tous uniques, mais aussi à coopérer – dans une certaine mesure toutefois – Temari et Kankurō gagnant en outre l’occasion d’affiner leurs rapports avec un frère qu’ils découvrent sous un angle nouveau et duquel leur faudra-t-il un jour tâcher d'empêcher les élans de folie.  
En dépit de la peur que lui inspire Gaara, Kankurō – qui s’est alors paré des accessoires qu’on lui connaît – laisse à quelques reprises échapper la preuve d’un sentiment de ras-le-bol à l’égard du jeune jinchūriki et du rôle de nounou dans lequel se sent-il lui-même piégé.

8 - Sans surprise au regard de leurs talents individuels, Kankurō et le reste de sa fratrie réussiront sans mal à gravir les échelons, acquérant ainsi le grade Chūnin et dès lors remarqués pour leur esprit d’équipe si particulier. Si Gaara reste à part et manque indubitablement de considération pour ses pairs, un ordre semble s’être établi au sein de leur trio.
Bien qu’aucun de leur comportement n’ait véritablement évolué, Kankurō admet plus d’une fois à sa sœur être habité, inspiré, motivé d’une compassion et d’une attention sincère, bien que discrète, pour leur frère.

9 - Désormais élevés au grade de Jōnin, Temari et Kankurō n’en délaissent pas moins ni leur proximité naturelle, ni la surveillance de Gaara, qu’ils continuent de préserver de lui-même et des autres au même titre que la cohésion de leur clan tout entier.
Les liens de Kankurō avec Rasa ne sont plus qu’exclusivement formels, le premier dirigeant aujourd’hui la Division de Contre-Terrorisme alors que le second a conservé son poste.
Bien qu’il suive les directives politiques et militaires sans faire désordre, le maître marionnettiste qu’il devient tâche dans l’ombre de tirer les ficelles de ce qu’il peut arranger, corriger, améliorer, dévoué au village caché du sable et à ses habitants, ainsi qu’à la précieuse lignée à laquelle appartient-t-il. Qu’il s’agisse de Gaara, de l’avènement de Suna ou de la perfection de ses propres pantins armés, Kankurō est plus que jamais fixé sur ses idées.

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Comment avez vous découvert le forum? : J'y ai été invité par Nishiki (Fûma), une amie de longue date
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Développer les intrigues auxquelles Suna peut prendre part ainsi que l'ambiance emmenée par ce village, appuyant (et appuyé par) la Fratrie du Sable. Kankurō entend d'abord préserver l'intégrité du village et de ses membres les plus fidèles, aider tant que faire se peu Gaara à s'épanouir positivement, et prendre la tête de Suna en s'engageant sur la voie du Kazekage. Son ultime rêve restant enfin de mettre la main sur la plus parfaite des marionnettes artificielles, travaillant ardemment à l'acquisition et à la conception de celle-ci.



Code by Frosty Blue de never Utopia
Dim 16 Aoû - 15:21
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Sabaku no Temari
Sabaku no Temari
Tokubetsu Jônin de Suna
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Tokubetsu Jônin de Suna
Hey!

Bienvenue sur le forum!

Ta fiche de présentation est complète, il n'y a pas grand chose à éclaircir.

En revanche, la partie où Kankurō est dirigeant de la division de contre-terrorisme est pour l'instant en attente de validation du staff. Si c'est refusé, tu pourras bien sûr en être tout de même membre.

    Concernant ton test RP, raconte-nous le moment où tu as appris que tu devais faire équipe avec Gaara et donc attendre ce dernier pour passer tes examens. De quelle façon Kankurō a-t-il réagi en comprenant qu'il serait "en retard" par rapport aux grades ninja?
Mer 2 Sep - 7:16
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M N S
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Hello jeune homme !

Je me permets de relancer ta présentation.

Je te laisse une semaine pour terminer tranquillement ton test RP Smile

Bon courage
Lun 21 Sep - 20:10
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Hatake Kakashi
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Sans retour, j'archive.
Mer 30 Sep - 17:16
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